SummarySofia Coppola brings to the screen a fresh interpretation of the life of legendary teenage queen Marie Antoinette, France's most misunderstood monarch. (Sony)
SummarySofia Coppola brings to the screen a fresh interpretation of the life of legendary teenage queen Marie Antoinette, France's most misunderstood monarch. (Sony)
Love this movie, one of my favorites, love everything: Kirsten, the dresses, the acting, ESPECIALLY love Coppola for making my favorite movie. Why is that people don't like it? its perfect. Gorgeous. Delighting. I 've re watched it soooo many times
In casting an all-American Jersey girl and surrounding her with Manolo Blahniks and the Strokes, Coppola draws a connection between her audience (domestically, at least) and the doomed dauphine, who is likewise insulated and distracted from her country's pointless involvement in a disastrous foreign war that is bankrupting its government and starving its people – and all the while she spends, spends, spends.
This is one of the most immediate, personal costume dramas ever made, and so it's not unseemly to consider how the writer-director and her heroine overlap.
It is far from unpleasant to watch an attractive cast led by Kirsten Dunst parading around Versailles accoutered in Milena Canonero's luxuriant costumes to the accompaniment of catchy pop tunes. But the writer-director's follow-up to her breakthrough second feature, "Lost in Translation," is no more nourishing than a bonbon.
Viewed through a contemporary lens and set mostly to a score of '80s pop tunes, this highly stylized, self-conscious enterprise -- really, a music video -- posits the misunderstood and vilified Marie, née Maria Antonia Josepha Johanna, as a figure in the mold of Diana, Princess of Wales.
Reports of boos at the film's debut at Cannes are more understandable now, not because Marie Antoinette is an inaccurate or indifferent look at French history (it is), but because it's self-indulgent shit. Booing - and beheading - are too good for it.
Everything about this movie screams a full rated revolution to a modern outlook on Marie, music, and France. The tone, the structure, and a strong lead provide an exquisite film.
The movie is just a little bit silly, doesn't really seem to care about Marie Antoinette. Film is visually stunning, but honestly just a bit boring. It has no direction, barely follows her life, and is realistically repetitive. Took multiple days to watch this movie, couldn't bear to suffer all at once. This was not Kirsten Dunst's fault, it was the director. Dunst portrayed Antoinette quite beautifully. But as I said, the movie was outlandish, and goofy. As good as the visuals were, nothing can save a bad storyline.
Une vision pas totalement dénuée d'intérêt de notre très défunte autrichienne Reine de France si délicatement incarnée par une Kirsten Dunst radieuse et magnifique, trop délaissée ici par notre bon Roi Louis le Seizième dépeint comme un nigaud et un maladroit, pour ne pas dire un benêt sévèrement et constamment à la masse ou presque. On sait que ce n'était pas vraiment le cas mais passons...
Cela dit, Marie-Antoinette était tout aussi déconnectée de la réalité du peuple, oisive et "fashion victim" des éventails, coiffures, **** fours et coupes de champagne : la frivolité personnifiée. Lorsqu'on vit royalement à Versailles, comment pourrait-il en être autrement dans le cadre enchanteur si proche et en même temps si éloigné de Paris et de sa populace vociférante ?
Le film de Sofia Coppola n'a certainement pas de prétention en matière d'exactitude historique (le contraire serait alarmant) mais se veut une sorte de nostalgie royaliste un brin décadente. Une esthétique très appréciable habite son film même si l'on est régulièrement choqué par l'ajout de musique moderne branchouille qui n'a rien à faire là. Tout cela est vaporeux et léger mais finit par lasser bien avant la première moitié du film : on est tellement lassé qu'on zappe alors la seconde moitié très répétitive qui escamote d'ailleurs presque totalement la Révolution et la fin de règne de ces têtes couronnées qui la perdront assez rapidement...
C'est là une occasion manquée de mettre en opposition la vie volage avec les contingences d'un retour à la réalité révolutionnaire qui a dû être extrêmement brutal, psychologiquement parlant. Tout cela est éludé, hélas ! A noter que contrairement à ce que pensent les Américains, il n'y avait pas de gens de couleur à la Cour de France, non, non. Sur les galères oui mais pas à la Cour.
Un film aussi volage, aussi futile que ses intentions, finalement trop superficielles pour faire le poids malgré la majesté des costumes et le souci de l'Etiquette. Kirsten y est superbe mais ne peut rien pour sauver le film de son naufrage dans les lenteurs, le superflu et le blingbling.
Production Company
Columbia Pictures,
Pricel,
Tohokushinsha Film Corporation (TFC),
American Zoetrope,
Commission du Film France,
Commission du Film Île-de-France